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mardi 26 mai 2009

Le Nouveau Centre: la faiblesse des faibles

Extraits d'un interview paru dans Le Figaro avec François Sauvadet, le président du groupe Nouveau Centre:

Comment réagissez-vous au dernier livre de François Bayrou «Abus de pouvoir» ?
 
Je suis scandalisé par l'expression qu'il a utilisée, quand il a qualifié notre choix de participer à l'action du gouvernement de «faiblesse des faibles». Est-ce qu'il existerait des hommes politiques «forts» comme lui, qui se réfugieraient dans le refus permanent, et des «sous hommes» ? Je lui pose la question. Que François Bayrou nous lâche un peu les baskets, et qu'il s'occupe de ses nouveaux amis de gauche ! Nous, nous sommes dans l'action avec le président de la République et le gouvernement, et c'est cela qui compte à mes yeux.


Lire l'interview, qui, à part les commentaires sur le livre très juste et très perspicace de François Bayrou est consacré au refus de Jean-François Copé de considérer le Nouveau Centre comme un partenaire à part entière de la majorité:  

lundi 25 mai 2009

La chasse au Bayrou, une impasse politique

Extraits d'un article du blogeur politique Nick Carraway paru sur le site web de Marianne:

"C'est l'ennemi politique numéro un, à l'UMP comme au PS. Mais les stratégies politiques des uns et des autres pour le tuer se révèlent pour le moment inopérantes. Nick Carraway nous explique pourquoi selon lui....

Les ruses du gibier Bayrou

Pourtant, l’UMP n’y va pas de main morte depuis deux ans. A la manière des clubs de foot approchant dans les vestiaires les joueurs-clés de l’équipe adverse avant le match avec de juteux contrats sous le bras, Nicolas Sarkozy a pris le parti d’arracher à François Bayrou le bloc le moins solidaire de feue la vieille UDF. 

Sans doute est-ce là l’avantage d’être ami avec le grand patron d’LVMH : lorsqu’on parle maroquinerie gouvernementale, on est gage de sérieux. 

Et voici que, main par la main, la farandole d’anciens soutiens bayrouistes, dont tous ont voté en janvier 2006 au congrès de Lyon le principe de l’indépendance vis-à-vis de l’UMP, acte fondateur de la stratégie présidentielle du ni-ni (ou du et-et, c’est une question de point de vue), ont tourné talons et retourné veste pour s’en aller bras dessus, bras dessous, avec une majorité leur faisant les yeux doux : « Reviens à la maison, chérie, c’est pas grave, je te pardonne, et je t’offrirai même un cadeau ». 

Cela ne suffisant pas, l’UMP s’est mis en tête de poursuivre la destruction de la vieille grand-mère centriste : Jean Arthuis et Hervé de Charette faisant planer le spectre d’une renaissance de l’UDF, dont l’un possède apparemment le nom, Michel Mercier titillé par des envies gouvernementales ; tout est fait, ou presque, pour déshabiller Bayrou.
 
Du côté du PS, c’est un son de cloche différent. 

En quittant la majorité le baluchon orange sur l’épaule, le nomade Bayrou a entamé sa conquête de l'Ouest de l’échiquier politique. Les politologues lui disaient apparemment que l’herbe y était plus verte : les écolos Yann Wehrling, Jean-Luc Bennahmias et Corinne Lepage lui ont somme toute donné raison, qui tous trois ont choisi de rejoindre en marche le pèlerinage solitaire du Christ nu de la politique française. 

«Hors de mes terres, visage pâle », lui ont rétorqué les socialistes peu enchantés par l’invasion centriste. Et ceux-ci, autocentrés comme une tribu indienne, de repousser Bayrou à leurs marges : c'est un homme de droite, vous dis-je, le monde doit le savoir.

Lire l'article de Nick Carraway:
La chasse au Bayrou, une impasse politique:

jeudi 29 janvier 2009

Le Nouveau Centre se met en "ordre de bataille" pour les européennes

A lire dans: Le Point du jeudi 29 janvier 2009

Extrait:
"Le Nouveau Centre (NC) a désigné mercredi ses chefs de file pour les élections européennes prévues en juin prochain. En Île-de-France, c'est l'eurodéputé sortant Jean-Marie Cavada, ex-MoDem et candidat aux élections municipales de 2008 sous l'étiquette UMP dans le 12e arrondissement de Paris, qui représentera le parti de centre-droite, avec un binôme dont le choix n'a toutefois pas encore été arrêté. Les porte-drapeaux du NC dans chacune des 8 circonscriptions électorales européennes sont désormais chargés de constituer des listes. "La communication de ces listes est fixée au 3 février prochain", précise Philippe Vigier, secrétaire général adjoint du Nouveau Centre interrogé par lepoint.fr. "

lundi 19 janvier 2009

Elections européennes: le "Nouveau centre" craint pour ses frais de campagne

Dans Le Figaro de ce matin un article de Jean-Baptise Garat intitulé "Le Nouveau centre en quête d'une stratégie européenne...

Nous vous conseillons de lire l'article en entier, mais ci-dessous quelques extraits:
"...Avec près de 12 % des suffrages, l'UDF était arrivée troisième en 2004, décrochant onze sièges au Parlement européen. Mais, à la différence des députés du Palais Bourbon, qui sont à l'origine de la constitution du Nouveau Centre, la majorité des élus européens sont restés fidèles à François Bayrou. La tentation est donc grande pour le jeune parti de se lancer dans la bataille pour confirmer son assise.

"...les sondages qui sont pour l'instant très en deçà des ambitions de la formation centriste. Crédité de 2 ou 3 % dans les premières études nationales, le Nouveau Centre pourrait ne pas avoir d'élu et ne pas être remboursé de ses frais de campagne. Pis, le MoDem de François Bayrou capterait 12 % des suffrages. «Avec un million d'euros par an pour fonctionner, l'éventualité d'un tel score nous fait réfléchir», convient le numéro deux du Nouveau Centre, Jean-Christophe Lagarde. 

jeudi 15 janvier 2009

Européennes: moins de 3% des voix pour le Nouveau Centre?

Il semble que ce qui intéresse les députés du Nouveau Centre n'est pas de représenter les Français à Bruxelles et à Strasbourg mais de maintenir une position de négociation auprès de l'UMP.

Extrait d'un communiqué de l'AFP : "...les arguments contre des listes autonomes se multiplient. Le porte-parole du parti, Maurice Leroy, fait valoir "à titre personnel" la participation traditionnellement faible à ce scrutin et le nombre élevé de listes, qui favorisent l'éparpillement des voix.

"Un score faible nous affaiblirait dans une négociation avec l'UMP pour les régionales", souligne-t-il.

Le député Nicolas Perruchot recommande la "prudence" et rappelle qu'il faut au moins 3% des suffrages exprimés pour être remboursé de ses frais de campagne."

(Vous pouvez tout lire du communiqué en cliquant sur le titre)

dimanche 11 janvier 2009

Le Modem est désormais la seule formation politique à ne pas vivre d'implosion.

François Bayrou est le grand vainqueur de l'implosion du paysage politique, est la conclusion d'un article daté du 9 janvier 2009 sur le site web d'actualités politiques Exprimeo

L'article est très synthétique:

"Le leader du Modem est le grand bénéfiaire de la recomposition du paysage politique Français.

Le Modem est désormais la seule formation politique à ne pas vivre d'implosion.

Le FN est menacé par la guerre de succession.

L'UMP va revivre sa fracture classique entre les libéraux et les gaullistes, les orléanistes et les bonapartistes ; bref désormais, Nicolas Sarkozy face à Dominique de Villepin.

Le Nouveau Centre ne parvient pas à exister parce qu'il est désormais impossible qu'un parti, a fortiori sans racine, se développe sans un présidentiable charismatique.

Le PS est figé dans l'opposition Martine Aubry versus Ségolène Royal.

La gauche du PS éclate en une multitude de petites formations plus rebelles les unes que les autres.

Dans ce paysage, le Modem semble progressivement être devenu la seule formation politique prête pour la campagne d'un seul : François Bayrou bien loin de l'indiscipline généralisée."

mercredi 31 décembre 2008

Le dilemme des Nouveaux centristes

Sur le site web de l'hebdomadaire Le Point ce matin un article qui raconte comment Nicolas Sarkozy veut aboutir à une confédération de la majorité présidentielle.  Vous trouverez un extrait ci-dessous.

« On ne veut pas d'une super-UMP », peste François Sauvadet, le patron des députés centristes. Préférant à cela « une confédération du centre », afin de mieux contrer l'expansion de François Bayrou. Au Parti radical, on suivra la volonté du président. Au grand dam de certains élus valoisiens qui déplorent le manque d'audace de leur président, Jean-Louis Borloo. Jean-Marie Cavada, ex-MoDem, Michel Mercier, président du groupe Union centriste au Sénat, et Thierry Cornillet, élu du Rhône-Alpes, ex-MoDem lui aussi, seront associés aux discussions."