Extraits:
"Il flatte leur compétence (« Nous avons choisi les bons députés »), a un mot gentil pour le Gardois Philippe Berta (à peine n° 7 de la liste et qui a l'air de faire la tête), en lequel il a « très confiance pour le présent et l'avenir » et refuse tout pronostic sur le nombre d'élus qu'il espère.Ça se passe place d'Assas, à l'heure du café. François Bayrou vient de déjeuner à l'Imperator. De plus en plus de passants font cercle pour regarder et tenter de saisir ses propos concurrencés par la sono, depuis la Maison carrée.
Qu'a-t-il à dire à Nîmes ? Ce qu'il prêche partout avec la même foi. Que l'Europe doit devenir affaire de citoyens.
Nicolas Sarkozy et ses 3 000 policiers mobilisés lors d'une de ses venues ici face aux 300 policiers qui suffisent pour un million de personnes à la feria, n'est pas seul à recevoir des flèches. Le PS aussi. « Je reproche à l'opposition de ne pas s'opposer. C'est un devoir de le faire quand les choses vont mal. Sinon, qui va défendre les gens ? S'opposer, c'est défendre l'essentiel. » Et la corrida ? Le Béarnais apprécie l'aficion, l'esthétique. C'est tout. Pourquoi ? Pour motif professionnel. « Je suis éleveur. Je suis du côté des vaches. »
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