vendredi 23 janvier 2009

Sébastien Pietrasanta, le jeune maire d'Asnières à visage découvert

Nous avons eu le plaisir de rencontrer Sébastien Pietrasanta lors du débat "Démocratie sur le net" organisé par Blanche Mühlmann et Christophe Grébert à Asnières. 

Extrait d'un article par sur le site web de l'hébdomadaire Le Point

"Né en 1977 à Asnières, où il a quasiment toujours vécu, Sébastien Pietrasanta a des origines cosmopolites.  Du côté maternel, un grand-père russe et une grand-mère égyptienne, contraints de quitter l'Egypte après la bataille de Suez, car juifs.  Du côté paternel, comme son nom l'indique, des Italiens émigrés en Corse il y a plusieurs siècles avant de s'installer à Strasbourg. Les deux parties de la famille se sont ensuite posées à Courbevoie pour migrer, à la génération suivante, à Asnières.  Le maire, qui a fait toute sa scolarité au collège et au lycée Renoir, réside avec sa compagne dans les quartiers nord de la ville, où, explique-t-il, est né son engagement politique...

"...Le départ du responsable de la section socialiste asniéroise va le propulser à la tête de l'opposition. L'alliance avec le MoDem et la liste DVD lui a permis de rafler la mise en mars 2008. Si elle en a surpris plus d'un, son élection n'a, selon lui, rien d'un hasard. « Je ne suis pas devenu maire sur un coup de poker, assure-t-il.  J'y allais vraiment pour gagner.  Vu le contexte local et national, nous avions une carte à jouer. »  Et pour l'avenir ?  « Chaque chose en son temps », avance-t-il.  Si sa priorité demeure la gestion de la ville (il entend bien briguer un second mandat), il n'exclut pas de se représenter aux prochaines régionales ni à d'autres scrutins...

"« Si je (n'avais pas été pragmatique) pendant la campagne des municipales, nous n'en serions pas là où nous en sommes aujourd'hui. »  Son alliance avec les candidats du MoDem et DVD l'a prouvé : le maire sait dépasser les clivages politiques pour atteindre les buts qu'il s'est fixés. Aimant « être dans le concret », il ne déteste rien tant que les grands discours qui n'aboutissent à rien.  Et dit voir rouge quand ses collaborateurs l'abreuvent de notes très théoriques sans les accompagner de propositions d'action concrète...

Lire l'article sur le site web de l'hébdomadaire : Le Point.

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